09.01.2014
Le lancement de l`épisode final de la télé-réalité «Doctor Life» sur le traitement des huit personnes narco-dépendantes des États-Unis, de l'Allemagne et de la Russie a eu lieu le 8 janvier. Un épisode «Un an après. Le bilan» est devenu le 20ème épisode du projet «Doctor Life». Les créateurs de la télé-réalité ont constaté que le traitement dans une clinique du toxicologue mondialement connu, le professeur Jenichbek Nazaraliev, qui était un auteur du concept, a aidé sept participants sur huit à se débarrasser de la dépendance.
Selon le professeur Nazaraliev, le taux de rémission annuelle chez les héros de «Doctor Life» était de 87,5%. Les symptômes mentaux, physiques et somatiques ne se manifestaient presque pas (92,7%). Tous les participants sans exception ont amélioré leur niveau de fonctionnement social et professionnel dans la société (75%) et le niveau de vie de leurs familles a augmenté assez vite (91,1%).
Dans l`épisode final de «Doctor Life» les participants de la télé-réalité parlent de leur vie après le retour à la maison. Une attention particulière est portée aux problèmes de re-socialisation auxquels ils devaient faire face.
C'est une preuve démonstrative de la haute efficacité de la méthode. Selon le professeur Nazaraliev, sa méthode est critiquée par des corporations pharmaceutiques des pays développés - les partisans de la méthadone et en Russie – par le pouvoir corrompu. La méthode du professeur Nazaraliev exclut le traitement de substitution (méthadone) et les participants de «Doctor Life» de la Russie au cours de la rémission ne pouvaient pas espérer une aide des groupes narcotiques anonymes et des psychologues comme aux États-Unis et en Europe.
On a obtenu le refus de n'importe quel type de drogues à l`aide des attitudes psychologiques de la dernière étape du traitement qui comprend un pèlerinage de 250 km sur le Mont du Salut Tashtar-Ata (passe sur la voie de trafic de drogue au Kirghizistan à travers l'Asie Centrale), ainsi qu`une séance de thérapie de stresse-énergétique (PSE) dont le but est de retirer la dépendance pathologique à la drogue.
La méthode de Nazaraliev s'inspire largement aux exigences de la pratique de la narcologie post-soviétique. Par exemple, en Russie, le programme de méthadone est interdit. C`est pourquoi, sans substitution qui réduit les méfaits mais ne les élimine pas, le professeur Nazaraliev annule la consommation d'opiacés juste après l'arrivé dans la clinique. L'efficacité de la réadaptation en Russie et dans les pays de la CEI est mesurée des signes de rémission depuis 3 ou 6 mois et ainsi que depuis une année impliquant le refus de la drogue. En outre, la méthode tient compte de la mentalité des toxicomanes post-soviétiques qui ont peur de s'adresser au dispensaire de drogue pour recevoir de l'aide et d'être des victimes impuissants de la violence policière.
Toutefois, le niveau moyen de la rémission annuelle lors de la dépendance à l'héroïne au Centre national de recherche sur les stupéfiants et l'alcool du Ministère de la santé de la Russie ne dépasse pas 8% et dans les communes de travail - 15%. En conséquence, les coefficients de la méthode de Nazaraliev confirmés sur les résultats du projet télévisé «Doctor Life» devrait susciter l'intérêt de la part de la communauté scientifique et médicale, estime le professeur Nazaraliev.
Le tournage dans la clinique du «Centre médical du docteur Nazaraliev» situé à Bichkek, la capitale du Kirghizistan a eu lieu en automne 2012. L`organisateur du projet est une organisation publique de lutte contre la drogue «La Ligue mondiale «Esprit libre de drogues». Lors de 45 jours, avec la réinsertion des héros de «Doctor Life», on pouvait voir les épisodes sur le site officiel www.doctorlife.tv en sept langues de communication internationale.
La sélection des participants s'est déroulée dans l`Internet lors d'un concours. La clinique a reçu 150 demandes provenant de plus de dix pays du monde. Le public de «Doctor Life» sur internet a dépassé 4 millions de téléspectateurs. Certains épisodes ont été diffusés à la télévision dans plusieurs pays, dont la Russie. Les représentants de la Ligue mondiale mettait en avant les problèmes de la prévention primaire de la toxicomanie, le développement de la tolérance aux personnes narco-dépendantes, ainsi que la présentation de la méthodologie de traitement aux spécialistes dans le domaine de la psychiatrie et de la toxicomanie.