Hé, Max! Encore une, hein?
Un jeune homme m’a passé quelque chose dans un emballage blanc. De ce paquet sentait l'odeur de la médecine et de la mort. C’était une nouvelle seringue. Nous sommes assis dans une cave humide et sombre en s’ appuyant au mur froid. Un courant d’air vient du mur, çà sent l’humidité et la poussière, et on voit des souris. Jke me souviens de mes mains tremblées, de la piqure vive, le liquide se passe par le sang, les pupilles s’élargissent, je ferme les yeux... Il n’ y a rien de meilleur que ce sentiment .
- Max, tu te souviens de ta première piqûre..
Ah ..? Oui. . . Je m’en souviens.
Max a essayé de piquer une aiguille sale à sa main couverte de chancre.
- Je me rappelle comment nous avons commencé – j’ai continué – « Erreur » - c'est inoffensive? Oui et c'est tout. Nous ne faisons que des bêtises. Ce n’est pas tout à fait
la indépendance. Quand je voudrai – je cesserai de ma piquer... Je sais.
Max a beuglé de l’euphorie en se glissant par le mur de l’euphorie pris.
- Et tous les putains d’ ancêtres. . . Pourquoi ils ne peuvent pas me comprendre? C'est à cause d'eux. . . Je suis ici. S’ils ne m’avaient pas fait pas de semonce et s’ils n'avaient pas séché mon cerveau. . . Et tandis que. . . Je m’en fou! Je me sens bien! Je vis pour moi-même, c'est ma vie! Le reste - au diable.
Je me suis lentement tourné vers mon ami pour qu’il puisse m’écouter.
- Hé! Que fais-tu ? - Demandai-je.
Il était assis avec un visage content, les yeux fermés. Il était dans un état de prostration. J’ai poussé son épaule, il a dit quelque chose indistinctement.
- Et ma jeune fille ..? Et quoi elle? Elle ne me comprend pas, je le jure, dit toujours que je suis un toxicomane et un monstre moral. Et c’est pareil déjà troisième année.. . Tous en ont convenu. Tout le monde me méprise. Je suis seul, oui? .. Pourquoi tu te tais? Tu n'es pas mort encore là? Ha-ha!
Nous nous sommes assis alors encore une heure et demie, peut-être une vingtaine de minutes. Je n'ai pas senti le temps. Nous nous sommes assis devant le sous-sol tant que le froid n’ a pas commencé à sécher nos mains, nos pieds et nos visages.
Ensuite, nous nous sommes levés à peine, nous avons monté les escaliers vers la lumière, vers la porte en bois. Une lumière brillante a aveuglé notre visage sombre, dès que nous avons ouvert la porte, on a failli de tomber sur le dos. En titubant, nous avons lentement traîné les pieds vers la maison.
Je me rappelle comment j’ai fait irruption dans la la porte. Je me souviens des cris et des larmes de ma mère, elle gronda fort. Il est évident qu’elle a fatigué de moi. Puis les papiers peints de ma chambre décolorés, un canapé affaissé, une forte odeur de la pourriture qui pénétre partout . Je suis tombé sur le canapé, face vers le bas. La tête me tourne et j'ai fait un rêve vif. J'ai vu. . . Je crois que j'ai vu.
. . Là, les soldats marchaient sur la terre et soudain le soleil se mit à tomber sur leurs
têtes, . Là, les soldats marchaient dans son sommeil sur la terre et le soleil se mit soudain à tomber sur leurs têtes, les crânes se répandaient en morceaux. Les gens mugissaient furieusement et décédaient dans de terribles souffrances. Je me suis battu le visage aux étoiles. Je me sentais la douleur ressentie des osses…
Le corps entier me faisait mal, et mon cœur se mit à battre comme jamais très souvent. Il a serree et s'est cassé en morceaux, il est tout simplement pourri et rempli de vers, qui sont avidement me rongaient de l'intérieur. Et tout cela est arrivé par à-coups, et avec chaque secousse, à chaque seconde, la douleur était insupportable. J'ai lutté dans des convulsions, en serrant ma peau pour cesser la douleur. Mon sang est injectée dans le cœur empoisonné, et il est plus la force de le nettoyer. Il s'agissait de la plus terrible douleurs dans ma vie. . . Je vous jure, aucun d'entre eux n'étaient pas amusant! J'ai crié de toutes ses forces, arrachant la gorge et les cordes vocales. Mes yeux roulaient dans une terrible agonie. J'ai essayé d’arracher mon cœur et déchiré ma poitrine avec les ongles jaune. Je me souviens du sang qui est apparu de ces blessures. Il me semblait que cela a duré pour toujours et un instant. . . Je me suis tordait de douleur terrible. . . Le dos est cambré, j'ai pleuré! .. Puis, je me suis calmé. . . Le cœur battait moins souvent et je n'ais pas assez d'air, que j'ai essayé d'attraper ses lèvres sèches. Mon corps est affaibli, j'ai commence avoir froid. . .
Je me souviens de ma mère. Elle ne pouvait pas m'aider - quand elle venait pour m’aider, les cris de supplice ont cesses.. Je etais vide et lui chuchota: «Maman. . . Maman. . .Je t’aime beaucoup. Pardonnez-moi pour j’ai detruit ta vie votre vie. . . Merci, maman. . . Pour ce que vous ne me laissez pas. . . Je ne peux pas remettre les choses. . . Je t'aime, maman. " Ma mère pleurait. . . Oh mon Dieu! .. Il n'y a rien que vous entendez? Il n'ya rien de pire et de plus amer que les larmes de ma mère! .. Elle me tenait la main froide, essayant de me retenir. Elle m'aime. . .
. . . Je suis mort d’une mort de chien pathétique, par le poison, qui est heureux de rentrer dans moi.
Je me souviens de mes rêves ont été détruits quand j'ai commencé à fumer l'herbe. Je ne savais pas que vous devez payer un tel prix. Je ne comprenais pas la valeur de la vie. Et vous dites que nous devrions tous essayer? .. Tous n'ont pas disparu.
Je suis malheureuse. . . Je ne mérite pas. On reste pas des rêves, que j'a tué. Et la vie ne valait pas qui est si maladroitement empoisonné. Je ne me tient pas, même la mort, que j'ai pris. Mais. . . La plupart de tous, je ne pouvais me conserver digne d’elle.L'amour de la mère. . . Une mère. . . Maman m'aime. . . Pardonnez-moi, ma mère. . . que je suis mort.
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