Concours-Internet transnational «Maya». Vidéos, photos, affiches, dessins contre la toxicomanie et l'alcoolisme

 Les problèmes de la santé – c’est un sujet désagréable. Et les perspectives pour le futur ne sont pas encourageantes. Il est vient de passer la température, la pression plus ou moins devenu la norme, qu’ont commencé les douleurs dans les yeux. Sur un oeil le glaucome, sur l'autre – a bouffé la rétine. Il y a deux mois j'étais sur l'inspection chez l'oculiste. À ce moment là j'ai eu l'hypertension oculaire, et le médecin a dit qu'au fil des ans, peut se former le glaucome. Je traitais la pression, mais, ça fait deux mois au lieu de quelques années que le glaucome est apparu déjà. On a prescrit le traitement. Pendant toute la journée, dans chaque heure, je dégoutte aux yeux. Maintenant j’ai un nouveau problème – dans une semaine sur l'oeil est apparue la candidose. À l'immunité faible l'organisme n’accepte pas le médicament. Il n’y a pas des améliorations encore. Je consultais à mon ancien médecin du Centre¹ à Bichkek (elle ne travaille plus là-bas). Elle dit que cela va continuer. Je traiterai une maladie, se révélera l'autre, cela va continuer dès que l'immunité n'améliore pas.

Je n’ai qu’une solution-il faut faire la thérapie antirétrovirale². Nous n'avons pas de spécialistes, donc, il faut expérimenter de nouveau avec la santé. Si le traitement aidera ou non, on ne sait pas. À l'état de santé actuel il n’y presque aucune chance. Il sera difficile à l'organisme au poids de 43 kg. Le niveau des cellules immunitaires³ sont environ 100 à la norme 1300, plus est inséré le mécanisme du vieillissement. J’ai l'urgence nécessaire d’un spécialiste à la thérapie antirétrovirale, même le théoricien, pour qu’il donne la consultation, s’il y la raison de commencer le cours du traitement ou non. Mais où le trouver ?

Je m'adresse à tous ceux qui lisent: « Aidez-moi à trouver le spécialiste pour consulter. Ensuite, il sera trop tard ... ».

Je m’excuse que j'écris ainsi en détail sur ma santé. Simplement si l'inscription lit une personne, qui a les mêmes problèmes, il pourra comparer et faire les conclusions pour lui-même. La thérapie antirétrovirale est nécessaire pour la prolongation de la vie. Mais les médicaments doivent être bien choisis, et la durée de la thérapie doit être surveillée chaque mois. Il sera mieux l'hospitalisation pour 1-3 mois, l' investigation obligatoire et l'observation pour la sélection des préparations de la thérapie antirétrovirale. Puis il est nécessaire de commencer la thérapie, quand la quantité de CD-4 aura au moins de 300 unités. Ce sont mes conclusions personnelles de la pratique.

Et encore mes certaines observations: il faut toujours bouger, marcher, faire les exercices possibles, pour que sur l'organisme il y avait constamment une charge. Certes, encore il faut avoir le désir de vivre.

J'ai compris cela par hasard. Au début de 2006 j'ai été diagnostiqué avec le PCP, la cirrhose du foie et l’anémie. L'hémoglobine n'a jamais dépassé de 60. J'étais sous le choc de la faiblesse et de la douleur dans tout l'organisme. De plus, il n'y avait pas d'argent pour la nourriture. La galette et le thé c'est tout ce que je mangais tous les jours. Je devais aller pour la méthadone, et le point de la distribution se trouvait à l'autre bout de la ville, à environ cinq ou six kilomètres. Je n’avais pas d’argent pour le passage, et si je ne prends pas de la méthadone, le lendemain, simplement je ne pourrais pas me lever. Et tous les jours à 7 heures du matin je sortais de la maison, et venait là-bas vers 12 heures. S'étant reposée une ou deux heures, j'allais à l'inverse, et revenait chez moi vers 4-5 du soir. Il n'y avait pas d'autre choix.

À ce temps-là je buvais encore de la vodka. Quand je buvais 100 gramme, je me chargais de l'énergie pour une heure, mais il fallait encore chercher de l'argent pour l'alcool. Le plus dur moment de ma vie. Chaque jour, j'attendais la mort, et j’était sûr que je ne survivrai pas. Et seulement en été, ayant passé le traitement complet, j'ai réalisé que ne suis pas morte parce que je bougais tous le temps. Eh bien, comment à cette période il apparaît une envie de vivre chez moi, je vais raconter dans l'inscription suivante.