Jean Tochenko
Les questions
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Les médecins tâchent de ne pas dire «les toxicomanes guérissants», mais plutôt «les toxicomanes inactifs» qui n'utilisent pas les drogues pour le moment. Est-ce que la personne ne pourra pas jamais se délivrer de cette étiquette dans la société moderne? Même selon des toxicologues la grande partie de leurs patients restent les toxicomanes pour toujours. Comment apprendre la société moderne à se rapporter adéquatement aux anciens toxicomanes, à les trouver comme les membres à valeur requise?
La marque du toxicomane se rapporte à un tel terme scientifique comme stigma. Il me semble que la peur est exagérée. Il faut créer les sociétés, les groupes des toxicomanes anonymes (selon le modèle des alcooliques anonymes) et, la société doit encourager les gens échappés de ce malheur. Il faut faire de manière que la personne soit fière du sauvetage de sa vie, et la société encourage cette conduite.
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Quel rôle jouent l'éducation parentale et les relations à l'intérieur de la famille dans la prophylaxie de la toxicomanie?
La famille, si elle veut garder l'enfant des rejets tous possibles en forme de l'alcool, des drogues etc., elle devra tous les jours, constamment vivre avec les intérêts totaux. Et cette affirmation n`est pas banale. Les parents doivent participer à toutes les activités des enfants, ensemble passer les vacances, organiser les activités communes. Mon expérience et la connaissance de ce problème montre que l'entraînement de la jeunesse à la consommation des drogues commence à cause de l'absence de l'attention voulue vers le devenir de la jeune personnalité. Cela peur etre une chose, soit l'absence de l'intérêt pour le cercle des relations, soit l'absence de la tenue commune du temps, y compris les vacances, soit à cause de l'absence des restrictions définies dans l'organisation de la vie privée.
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Quelles doivent être les méthodes de la lutte d'information contre la toxicomanie au siècle d'Internet et de la croissance des communautés de réseau ? Comment vous pensez, quel moyen sera plus effectif aujourd'hui, et comment doit se comporter l'État pour influencer les malades toxicomanes avec succès et faire la prophylaxie parmi la population saine?
Puisque la jeune génération est visuellement orientée, il faut donner à tous les jeunes gens (aux leçons à l'école, aux études dans les écoles supérieures ou les collèges) l'information régulière non simplement sur le danger et sur la prophylaxie de la toxicomanie, mais aussi il faut montrer les conséquences de cette maladie dans toutes ses manifestations sans attrait. Et en outre il faut avoir quelques variantes et elles doivent se réaliser par les organismes de l'instruction publique est commun avec les services spécialisés en forme des chroniques documentaires. L'élément du choc doit être inhérent à la politique d'information à tout le système de la formation. D'autre part, je n'exclus pas tels actes du côté de l'État comme le traitement violent - probablement ce mauvais traitement sauvera plus d`un mille gens.
