Concours-Internet transnational «Maya». Vidéos, photos, affiches, dessins contre la toxicomanie et l'alcoolisme

Les questions

• Les médecins tâchent de ne pas dire «les toxicomanes guérissants», mais plutôt «les toxicomanes inactifs» qui n'utilisent pas les drogues pour le moment. Est-ce que la personne ne pourra pas jamais se délivrer de cette étiquette dans la société moderne? Même selon des toxicologues la grande partie de leurs patients restent les toxicomanes pour toujours. Comment apprendre la société moderne à se rapporter adéquatement aux anciens toxicomanes, à les trouver comme les membres à valeur requise?

  Je pense que l'exemple est le meilleur moyen de transmettre l'information. Il faut montrer aux gens que les anciens toxicomanes sont capables de vivre pleinement, et qu'il n'y a pas de raisons pour la ségrégation. Il faut montrer les histoires réelles comment les toxicomanes ont surmonté la maladie et continuaient à vivre. Aussi il vaudra mieux, si ces histoires auront émotionnelles, puisque les gens sentent mieux, que réfléchissent.
   

• Quel rôle jouent l'éducation parentale et les relations à l'intérieur de la famille dans la prophylaxie de la toxicomanie?

  Ici au Porto Rico les valeurs familiales sont primordiales, ce qui implique aussi le respect et la vénération des aînés. Les jeunes font confiance à l'expérience de l'ancienne génération, et suivent son opinion. Pour certains, cela peut sembler une approche très conservatrice, mais l'ordre social est parfaitement valable, parce que vous évitez de nombreux problèmes. C'est pourquoi, je pense que la famille et l'éducation sont très importantes dans la formation de la conscience des jeunes.
   

• Quelles doivent être les méthodes de la lutte d'information contre la toxicomanie au siècle d'Internet et de la croissance des communautés de réseau ? Comment vous pensez, quel moyen sera plus effectif aujourd'hui, et comment doit se comporter l'État pour influencer les malades toxicomanes avec succès et faire la prophylaxie parmi la population saine?

  «Il est nécessaire de diffuser l'information sur le danger des drogues, mais elle doit avoir la forme claire pour les utilisateurs des réseaux sociaux. Si la personnne qui visite ces sites, ne comprennent pas sur quoi il s’agit, alors pour quel raison publier cette information. Je ne suis pas un spécialiste dans le média et je ne peux pas proposer les mesures concrètes, que le gouvernement doit entreprendre, mais je suis sûr qu'il faut montrer aux gens toute la terreur de la toxicomanie. Et non seulement les aspects physiques de la consommation de drogues, mais aussi sociaux et psychologiques. Quand j'ai informé à la société que je suis l'homosexuel j’avais difficile surtout socialement et psychologiquement. Tout ce qui je savais, sont tourné le dos à moi. Mais les drogues sont destructives, et nous devons montrer aux gens, cet aspect de leur utilisation.