Patrick Morgan
Les questions
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Quel rôle jouent l'éducation parentale et les relations à l'intérieur de la famille dans la prophylaxie de la toxicomanie?
La famille est absolument le facteur fondamental dans la prophylaxie de la toxicomanie. Dans l'éducation il est important de former les installations et les valeurs spirituelles, où il n'y a pas de place pour les drogues. N'appliquez pas «les méthodes destructives», fondées sur l'intimidation et la punition. Il est importante la délicatesse dans les conversations sur les drogues.
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Quelles doivent être les méthodes de la lutte d'information contre la toxicomanie au siècle d'Internet et de la croissance des communautés de réseau ? Comment vous pensez, quel moyen sera plus effectif aujourd'hui, et comment doit se comporter l'État pour influencer les malades toxicomanes avec succès et faire la prophylaxie parmi la population saine?
Quoi que la science de la toxicomanie se développe vite, combien de moyens du traitement de la dépendance seraient inventés, en tout cas le meilleur moyen du traitement est la prophylaxie. La réalisation des actions prophylactiques de la prévention de la toxicomanie ne peut pas être assurée seulement par le service médical. A l'opinion publique l'activité globale des médecins, des professeurs, des structures de mantien de l'ordre est nécessaire. Mais, certes, c`est l'État qui doit s'occuper de la prophylaxie de la toxicomanie, en limitant et en interdisant la diffusion des moyens narcotiques. Les médias peuvent apporter l'obole dans la lutte contre la toxicomanie dans la société: la retransmission de la publicité sociale antidrogue exerce une forte influence sur l'auditoire. C'est pourquoi, avec l'aide des médias et des instituts sociaux on doit organiser la propagande du mode de vie sain. Les représentants du service narcologique doivent passer les séminaires aux sujets antidrogues parmi les professeurs et les élèves des écoles et des institutions supérieures. Il faut conduire cette propagande, avec la différentiation, sans le formalisme, elle ne doit pas stimuler en aucun cas l'intérêt malade des adolescents pour l'objet examiné.